Prix Albert Rayon le 11 septembre 2016 à Argentan

Prix Albert Rayon Sept 2016

Les « du Pont » qui changent de casaque…

J’ai toujours un petit pincement au coeur quand je vois des « du Pont » partir chez un autre propriétaire, et pourtant, c’est obligatoire pour équilibrer l’effectif de l’écurie. Quand le cheval réussi sous ses nouvelles couleurs, cela laisse même un petit gout amer, mais c’est Albert Rayon qui en parle le mieux. En effet, interviewé sur ce sujet, voici sa réponse : « J’ai cédé ma Colivette pleine de Le Loir. Elle allait donner naissance à un certain Ténor de Baune ! Il sourit, sans amertume aucune, et poursuit : « Je n’ai aucun regret. C’est la meilleure publicité pour mon haras. Tout comme je suis très heureux qu’Ulf Nordin se soit porté acquéreur de Courlis du Pont, par Opus Dei certes, mais pur produit Rayon puisque sa mère Hirondelle du Pont est issue de Ruy Blas IV, l’un des piliers de mon élevage ».  

Courlis du Pont, un bel exemple pour Valette du Pont (4 ans), partie dans la famille Abrivard après une excellente qualification au monté en 1’17″8, elle affichait un bilan plutôt prometteur après ses 5 premières sorties : 2 victoires et 3 secondes places, un record monté de 1’13″4 et des gains de 59 500 € ! Son bilan s’est depuis un peu dégradé quoique toujours honorable : 13 courses et 79 150 € de gains, mais elle n’a pas été revue en course depuis le 27 février 2014.

Un Fleuron du Pont, entraîné aujourd’hui chez Julien Raffestin, tout comme Sthill du Pont (pas vu depuis le 29 novembre 2011) et Ubella du Pont (pas vue depuis le 29 avril 2013), semble lui aussi bien parti dans la même discipline monté : 148 710 € de gains en 62 courses, et un record monté de 1’14″1.

On retrouve aussi beaucoup de « du Pont » dans le Sud et le Sud Ouest, chez Romuald Mourice : Quenza du Pont, Quinoa du Pont, Romaine du Pont, Rumba du Pont et Udine du Pont toutes revenues chez JY.Rayon et Valium Soyer (parti depuis juin 2013 et aujourd’hui chez Loic Le Guerch) mais aussi chez Manuel Criado (Titi Soyer, Sage des Olivettes, Sorraya du Pont, Quonoa du Pont (†), Quartz du Pont (parti depuis), Radieux du Pont et Vinci du Pont ou encore chez Loris Garcia ou le brave Premier du Pont vient de partir (le pincement au cœur a été plus fort sur ce coup…mais heureusement, le commentaire d’Alex m’a depuis rassuré puisqu’il est en location lui aussi). Premier du Pont a ensuite été « transféré » chez Dominique Raffini (voir l’article spécifique dans la même rubrique) pour y finir sa belle carrière, il vient d’être rejoint par un autre de mes préférés : Soprano du Pont (lui aussi a sa rubrique spéciale).

Pétunia du Pont est lui aussi partir terminer sa carrière sous d’autres cieux (il est aujourd’hui à Malte), tout comme Plymouth du Pont, Prestige du Pont, Rapide du Pont, Reseda du Pont, Resille du Pont, Riad du Pont, Rose du Pont, Sampa du Pont, Slorina du Pont, Sully du Pont, Teva du Pont, Tidalium du Pont, Trevise du Pont, Terre Soyer, Ubella du Pont, Une Soirée du Pont, Union du Pont, Ursy du Pont, Uthello du Pont, Utopie du Pont, Va Belle du Pont, Vatican du Pont, Venitien du Pont, Virginie du Pont, Vulcain du Pont et Alexandrie du PontParade du Pont (en location, puis rentrée pour entrer au haras ou elle a été présentée à Qwerty), Querelle du Pont (revenue au haras) et Tamara du Pont sont allées chez Romain Porée pour courir en amateur. Relook de Sausseau, prometteur de 3 à 5 ans mais malheureusement souvent blessé est parti rejoindre les boxes de Valery Goetz, Quito Soyer l’a rejoint, puis est parti à Malte. Quant à Vital du Pont et Vivaldi du Pont, à la recherche de leurs premiers bon résultats après de bon temps de qualification, il sont partis chez L.Leduc. Quant à Rasta du Pont, et là, le coup est vraiment dur….. tant je l’adorait…. elle vient de partir chez E.Martineau, mais heureusement elle aussi en location. Elle est d’ailleurs rentrée au haras elle aussi.

La filière belge est souvent présente avec par exemple les départs il y a quelques années de Panda du Pont (parti à Malte en 2013), Pepito du Pont, Quado du Pont et Quismaël du Pont, tout comme la filière de Malte ou sont partis Isard du Pont, Hispano du Pont, Missouri du PontIlot du Pont, Laos du Pont, Moka du Pont et récemment Orage du Pont, Pétunia du Pont et Quito Soyer. Pour voir les résultats : cliquez

Va Reine du Pont et Vetmie du Pont (prêt pour cette dernière, elle vient de rentrer sous ses couleurs, mais reste entraînée en Belgique) sont parties aux Pays-Bas chez Henk A.J.Grift. Le beau et malheureux Sapin du Pont vient de les rejoindre… nouveau coup dur pour ma liste des préférés…

On retrouve également un du Pont en Martinique qui a accueilli depuis janvier 2012 le valeureux Quel Epi du Pont. Pour voir les résultats : cliquez

Les derniers partis sont Acacia du PontArizona du Pont, Babylone du PontBagatelle du Pont, Bamba du Pont, Bastille du Pont, Belinda du Pont, Berline du Pont, Best du Pont, Bonheur du Pont et Brennus du Pont, alors que le brave et robuste Tesaco du Pont vient d’être réclamé chez Jean-Marie Roubaud puis est parti chez Alexis Garandeau.

Dans la génération des C, c’est au tour de Calypso du Pont, Camelia du PontCharly du PontCristal du Pont, Cumin du Pont et la prometteuse Calba du Pont de quitter l’écurie.

Dernière nouvelle, et celle-ci m’a donné un petit coup de blues, Tino du Pont vient de quitter l’écurie pour rejoindre les boxes de Mme Gilbert Masschaele, ou il rejoint Vetmie du Pont. Après sa démonstration de Divonnes-les-Bains dans un réclamer, drivé par Philippe Masschaele, c’était à prévoir. Tino du Pont était un peu particulier pour moi car repéré sur photo pour son modèle, j’avais eu le grand plaisir de le voir à Vittel (cliquer ici pour voir le reportage sur cette « rencontre » entre Tino et moi. Fidèle à la devise d’Albert Rayon, citée en début d’article, je continuerai de suivre avec plaisir les résultats de Tino du Pont (3ème pour sa première sortie sous ses nouvelles couleurs…). 

La filière Masschaele est d’ailleurs fructueuse puisque entre août et octobre 2015, Aristo du Pont est venu rejoindre Vetmie du Pont et Tino du Pont, et le tout avec succès puisqu’en 6 sorties, les du Pont se sont classés 5 fois dans les 6 premiers, avec 1 victoire et 2 troisième places !

Anna du Pont est partie chez Mme D.Gevaux en fin d’année 2015, alors que Douglas du Pont et Diana du Pont (cette dernière finalement rachetée par son propriétaire) sont passés aux ventes du Prix d’Amérique 2016 avec de belles offres respectivement à 22 000 € et 17 000 €.

Alcazar du Pont et Alpha du Pont sont partis chez Romuald Mourice, il y seront bien ! Une des Frichots vient de les rejoindre ainsi qu’Alova du Pont, Artemis du Faucon, Badiane du Pont, Biba du Pont, Coccinelle du Pont et Capella du Pont.

Babelle du Pont vient d’être louée chez Alexis Garandeau, qu’elle y soit sage, la bonne Celinia du Pont est partie chez Augustin-Normand pour l’entraînement de Damien Bonne, alors que la difficile California du Pont et la bonne Civette du Pont sont parties chez Arnaud Randon alors que Condor du Pont est parti rejoindre Berline du Pont, Brennus du Pont et Bamba du Pont chez Philippe Aragon. 

Atout Soyer, qui avait donné beaucoup d’espoir à son entourage à 3 et 4 ans (3a-2a-4a-1a-3a-5a-3a) a malheureusement du interrompre sa carrière en mai 2014 suite a de gros ennuis de santé. Après une longue convalescence, il a rejoint les boxes de GM.Foiret. Je lui souhaite le meilleur des rétablissement. Dollar Soyer est partie chez Grégory Thorel.

Dahlia du Pont, Dakota du Pont (tous deux qualifiés le 15 mars 2016 respectivement en 1’18″8 et 1’18″4) et Docean du Pont sont partis rejoindre Vatican du Pont chez André Le Courtois.

Angelus du Pont est parti chez Moise Tabu.

Cette fois ce n’est pas un petit pincement, c’est un énorme ! Un Amour du Pont, lui aussi très malchanceux pendant se courte carrière en course, tantôt souffrant de ses jambes, ou touché par des coliques, vient de quitter l’écurie Rayon pour rejoindre celle de Valery Goetz. Récemment castré, espérons qu’il y passera une fin de carrière heureuse.

à suivre… 

Prix Albert Rayon le 22 mai 2016 à Rambouillet

Pour la première fois depuis sa création à Rambouillet, mais aussi à Vincennes et Argentan, un « du Pont » est au départ du Prix Albert Rayon : Cristal du Pont. Même si il ne coure plus sous les couleurs Rayon, et en lui trouvant quelques chances de bien faire, c’est avec beaucoup d’intérêt que je suivrai le résultat de cette course !

2016 05 22 Prix Albert Rayon 1

Prix Albert Rayon le 20 décembre 2015 à Vincennes

Prix Albert Rayon

Prix Albert Rayon a

Prix Albert Rayon b

Pour remettre le trophée au vainqueur (Franck Nivard), les 2 petits-enfants d’Albert Rayon étaient présents : Guillaume Coves et Celine Bazire :

Prix Albert Rayon c

Jean-Yves était lui aussi présent :

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Prix Albert Rayon le 1er septembre 2015 à Argentan

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Tenor … du Pont, et non, de Baune !

J’ai déjà abordé cette histoire, mais je viens de terminer la lecture d’un très beau livre « La Mayenne, paradis du trot » de Pierre Joly, aux éditions Siloë, et je souhaite partager avec vous cette belle histoire que celle de Tenor de Baune. Et comme Pierre Joly le raconte mieux que moi, je préfère citer ses mots :

Tenor de Baune est un peu le « poulain du clair de lune ». Ses éleveurs, Janine et Bernard Hallopé, installés à Saint-Gemmes-d’Andigné (Maine-et-Loire), ne l’ont pas vu naître (1). Une expression familière résume l’étonnement éprouvé le 18 mai 1985 : « Colivette (2) avait mis bas dans la nuit, et son foal nous était passé sous le nez. » Ce n’est pas l’habitude de l’élevage angevin, où les naissances bénéficient de la surveillance attentive de la maîtresse de maison qui sait tout sur la manière d’aider une poulinière. Elle n’hésite pas à recoudre elle même les déchirures lorsque cela se passe mal. Mais ici, on est spécialisé dans les galopeurs et les pur-sang. Colivette constitue encore la seule exception à la règle. Désormais (3), c’est l’effet Tenor, huit poulinières de trot ont rejoint les quatorze galopeuses. Petit homme convivial et volubile, Bernard Hallopé se souvient de l’émotion qui le gagna ce matin de mai en découvrant le « p’tiot » se frottant contre les flancs de Colivette : « Je me suis dit : il est vivant. » Que sa mère et lui refusent de se laisser approcher durant toute la journée et s’enfuient rapidement fait désormais partie des souvenirs heureux.

Bernard Hallopé, à la fois « crieur » dans les ventes publiques, éleveur, négociant, appartient à la famille de ces personnages pittoresques et attachants que l’on rencontre dans l’Ouest. Disert et madré, il croit en la parole donnée, aux transactions qui se scellent par un claquement de mains comme aux temps anciens (4). Sa réputation d’excellent négociateur n’est pas surfaite et pourtant, depuis le 18 mars 1985, il se demande si en achetant Colivette à M. Albert Rayon, il n’a pas fait l’une des plus mauvaises affaires de sa vie. Le propriétaire du haras de la Coquenne sut se montrer persuasif : « Monsieur Hallopé, vous n’avez que des galopeurs, il faut absolument que je vous vende une poulinière de trotteurs. » On lui en présente une dizaine. Il hésite, mais l’éloquence d’Albert Rayon, le cadre du haras, l’impressionnent. Il choisit Colivette à cause de son géniteur : Pacha Grandchamp, un nom pour lui mythique, un « chef de race ». La vente est conclue pour 50 000 F. le retour à Saint-Gemmes n’a cependant rien de triomphal. son épouse lui dit son désaccord en termes vifs.

Le stud-book, consulté un peu tardivement, n’a rien de très rassurant. Avec deux petites victoires à Vincennes et une à Enghien remportées sous la selle dans le temps très moyen de 1’20″, la jument n’a pas laissé un souvenir impérissable. La poulinière ne réussit pas mieux. Âgée de dix-sept ans au moment de la transaction, elle n’avait réussi à mettre au monde que quatre produits vivants. Les remontrances de Janine Hallopé s’appuient sur des faits, et son mari se demande s’il n’a pas payé trop cher « cette vieille cavale » donnant si parcimonieusement la vie.

Le père du foal, Le Loir apparaît moins terne. Il enleva le Prix du Président de la République, le Prix de Normandie, cinq semi-classiques, et arracha une quatrième place dans le Prix du Cornulier.

Comme étalon, à cette époque (5), Le Loir ne signe pas son entrée au Haras par un paraphe royal. Ce n’est que beaucoup plus tard qu’on lui devra Tamise du Pont : 1’17″, Taelia du Pont : 1’17″ et Uquita Bella, toujours en 1’17″… A Saint-Gemmes, Janine Hallopé a donc toutes les raisons de fulminer. Le dernier-né de Colivette et Le Loir, on l’appellera Tenor après avoir pensé à Turbo en espérant qu’un jour, comme dans la chanson d’Aznavour, son nom brillera tout en haut de l’affiche.

Si cette histoire vous intéresse, je vous invite à lire la suite dans l’excellent livre de Pierre Joly, mais je pense qu’il est inutile de vous raconter le reste de l’histoire : Tenor de Baune, après avoir terrorisé ses compagnons d’élevage (au milieu des galopeurs, il leur mordait les oreilles, agissant en chef de bande), s’est qualifié le 17 septembre 1987 à Angers en 1’24″, puis débutera le 12 mai 1988 à Argentan par une facile victoire avec 30 mètres d’avance sur le deuxième. Des victoires, Tenor de Beaune en enchaînera 30 consécutives, la trentième étant la plus belle : le Prix d’Amérique le 27 janvier 1991. 

Au total, sa courte carrière est extraordinaire : 47 courses, 33 victoires, 5 places, 1 459 547 € de gains.

(1) Non seulement ils ne l’ont pas vu naître, mais ils n’ont pas assisté à sa conception, puisque Le Loir, étalon de l’écurie Rayon a sailli Colivette, poulinière de l’élevage Rayon, au haras de la Coquenne.
(2) Avant Tenor de Baune, Colivette a produit Jalna du Pont (par Ruy Blas IV, 4589 €), Mundial (par Fruit Rose, pas couru), Quebec du Pont (par Granit, pas couru) et Sydney du Pont (par Hillion Brillouard, 24 328 €).
(3) Le livre a été écrit en 1994
(4) Albert Rayon était lui aussi un homme pour qui une poignée de main avait beaucoup plus de valeur qu’un document signé devant notaire. Malgré quelques mésaventures…, il m’a déclaré ne l’avoir jamais regretté.
(5) Outre Tenor de Baune, Le Loir a finalement produit, de 1985 à 1999 : Anita de la Vallée (842 365 €), Filou de la Grille (495 247 €), Ubu la Garenne (361 565 €) ainsi que 17 autres produits ayant gagnés tous plus de 170 000 €.

Tenor de Beaune 2

Tenor de Beaune

 

Prix Albert Rayon le 17 mai 2015 à Rambouillet

2015 05 17 Prix Albert Rayon 1

2015 05 17 Prix Albert Rayon 2

Prix Albert Rayon le 14 décembre 2014 à Vincennes

J’avais raté cette information en direct…

Après Argentan le 2 septembre 2014, c’est au tour de Vincennes de saluer le dimanche 14 décembre 2014 la mémoire de ce grand monsieur du trot qu’était Albert Rayon, et ceci d’une belle manière puisque c’est un Groupe III réservé aux femelles de 3 ans qui a été rebaptisé Prix Albert Rayon (Prix Crazy Horse) dont voici l’arrivée officielle ci-dessous :

Prix Albert Rayon 1

Prix Albert Rayon 2

Voici la revue de presse annonçant cet hommage :

ZeTurf :

Salut à toutes et à tous chers fidèles lecteurs. En ce dimanche 14 décembre 2014, nous vous souhaitons la bienvenue sur notre site et espérons sincèrement que vous passerez une agréable journée dominicale en notre compagnie. Avant d’évoquer le tiercé, quarté, quinté plus en deuxième partie d’introduction de notre article, nous aimerions encore une fois écrire quelques lignes au sujet d’une épreuve à laquelle nous n’avons pu accorder une brève spéciale. Ce rendez-vous n’est autre que le Prix Albert Rayon, rendant hommage à un grand homme de cheval disparu il y a quelques mois désormais. Cette course mettra à l’honneur la gente féminine et notamment des jeunes pouliches âgées de trois ans qui auront droit d’être déferrées au premier janvier. Ce groupe III richement dotée verra des pouliches ayant déjà tenté leur chance au plus haut niveau s’essayer ici. En savoir plus : ici

A2Turf :

http://www.a2turf.com/le-prix-albert-rayon-pour-baraka-de-bellou-a2turf-com,videos.html

Prix A.Rayon

Prix A.Rayon2

Costa Rica II

Costa Rica II (Narioca – Tyrolienne L II) est la jument qui m’a fait découvrir l’écurie Rayon.

Née le 15 mai 1968, et achetée jeune par Albert Rayon, elle a permis à Jean-Yves de participer au Prix de Paris en 1975, et surtout d’en terminer 2ème derrière Une de Mai !

Voici mes archives photo sur cette jument d’exception, qui m’a souvent déçu, mais que j’ai toujours aimé, surtout avec sa coupe 2 teintes que j’adorai… Malheureusement, elle n’a pas eu de réussite en tant que poulinière, ne donnant que 3 produits dont 1 seul s’est qualifié : Libéria du Pont (par Vallauris du Pont) en 1977, qui gagnera 5 318 € pour un record de 1’24″6. Ces 2 autres produits : Missouri du Pont (par Ruy Blas IV) et Oletta du Pont (par Reza Grandchamp) n’ont jamais couru.

Costa Rica II s’est éteinte le 22 janvier 1982 à l’âge de 14 ans.

1973 02 04 Costa Rica II Prix de Nevers (1)

1973 06 21 Costa Rica II

1973 02 04 Costa Rica II Prix de Nevers

1974 05 Costa Rica II Divers (3)

1974 11 Costa Rica II divers (1)

1975 08 Costa Rica II divers (2)

1975 Costa Rica II à l'entrainement

1975 Costa Rica II divers

1975 Costa Rica II Prix de Brest

1975 Costa Rica II Prix de Langeais

1975 Costa Rica II vole...

Prix Albert Rayon le 2 septembre 2014 à Argentan

A ma connaissance, l’hippodrome d’Argentan a été le premier à honorer, le 2 septembre 2014, la mémoire de ce grand monsieur du trot qu’était Albert Rayon en baptisant la 6eme course de son programme d’aujourd’hui le Prix Albert Rayon

Un grand bravo aux responsables de cet hippodrome pour avoir eu cette délicate attention.

2014 09 02 Prix Albert Rayon 1

2014 09 02 Prix Albert Rayon 2

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